21 avril 2025

Ni tout, ni partout : à propos de la provincialisation du père par Lacan

Ahmad Fuad Rahmat

Qu’est-ce que le père ?

La place importante qu'occupe le "père" dans la psychanalyse lacanienne repose sur une contradiction. D'une part, il s'agit de l'envisager de façon purement métaphorique. Le père n'est qu'une autre façon de dire que l'ordre symbolique a un centre manquant qui organise l'identification et que n'importe quoi peut remplir le rôle de ce "père".   Lacan décrit donc le père comme " l'effet d'un pur signifiant " (Lacan, 2001, p. 152). Son autorité ne repose sur rien de " réel " mais est une simple nécessité structurelle, comme ce qui permet à quelque chose d'être instancié pour combler le vide qui déstabiliserait autrement le discours, une " boussole générale de principes culturellement et socialement viables " (Vanheule, 2011, p. 61). L'association de la paternité avec le patriarcat, la domination masculine ou la masculinité n'est donc qu'une coïncidence. Comme le dit Elisabeth Roudinesco dans son dialogue avec Alain Badiou, la "fonction symbolique du père peut être assumée aussi bien par une femme que par un homme, et dans un couple homosexuel, par l'un ou l'autre partenaire" (Badiou & Roudinesco, 2014, p. 25). Slavoj Žižek (1995) affirme quant à lui que " Femme ", qui est un point d’appui dans le déplacement du désir masculin, est l'un des Noms-du-Père. La nature essentiellement fantasmatique du père signifie également que "le père" n'a pas besoin de se référer à une personne. Il peut s'agir de tout ce qui joue le rôle de stabilisateur du désir pour un sujet. Pour Darian Leader : "Il peut s'agir d'une entreprise professionnelle, d'un style de vie, d'une activité : ce qui compte, c'est moins ce qu'il est que ce qu'il fait" (Leader, 2011, p. 63). Il suffit, nous rappelle Derek Hook, que nous comprenions le père comme un " ensemble particulier et historiquement situé de coordonnées symboliques " (D Hook, 2017, p. 127). Le père, c'est fondamentalement le lieu du désir et ses objets : " Tout ensemble de caractéristiques de ce type présuppose un regard, un point de vue symbolique qui fixe les paramètres de ce qui compte comme attirant, réussi, digne d'éloges, etc. " (D Hook, 2017, p. 127). En tant que premier lieu d'identification, " le père " et l'ordre " symbolique " sont donc souvent désignés de manière plus ou moins interchangeable dans la littérature lacanienne.

L'idée que le "père" n'est qu'une abstraction indéterminée dans le contexte ne doit cependant pas être interprétée comme signifiant que Lacan le considérait comme un concept qui pouvait être simplement coupé et collé pour être appliqué n'importe où. En effet, bien que Lacan ait considéré le père comme un phénomène enraciné dans des circonstances historiques spécifiques, il était clair qu'il s'agissait en fin de compte de circonstances propres à l'histoire de l'Europe occidentale et à l'histoire coloniale et impériale. C'est pourquoi Lacan prend pour acquis le fonctionnement d'une certaine temporalité qui accompagne la fonction paternelle, une temporalité qui est présumée là où il rend compte du fonctionnement du père en le décrivant également comme pris dans " le déclin de la fonction paternelle ". La psychanalyse doit également expliquer pourquoi l'identification pour le sujet de la psychanalyse équivaut aussi à une sorte de souffrance, que l'on ne s'identifie pas à un "père" pour devenir entier. On s'identifie plutôt au père pour former une relation temporelle avec le manque, où le père représente la façon dont la souffrance dans le présent a un passé qui s'organise autour de certaines figures d'amour. Dans la mesure où ces figures d'amour ont été rencontrées pour la première fois dans le cadre familial dont le sujet ne peut se souvenir qu'à contretemps, le sujet subit les figures identificatoires de l'amour comme des traces d'un passé perdu. Le père représente une figure qui relie le passé et le présent, par laquelle le fantasme névrotique acquiert sa temporalité distincte de perte et la poursuite de l'objet, contre la vérité de la mortalité du sujet, ne pourrait prendre que la forme d'un déclin.

Certes, Lacan n'utilise que rarement les termes "Occident" ou "Europe" dans ses écrits. Ils sont mentionnés en trop peu d'occasions pour être d'une quelconque utilité critique. Ils sont cependant présents là où il faut rendre compte des particularités historiques de l'ordre symbolique. C'est évident là où le déclin de la fonction modélisante se calque sur ce que Lacan tient pour acquis comme le déclin de l'ordre symbolique. C'est en effet dans cet état de déclin symbolique, où le manque doit être symbolisé plus intensément en raison de l'échec inhérent au processus de symbolisation, que la jouissance se révèle dans son surplus et son excès. Dans le Séminaire XVII, Lacan relève une curieuse contradiction dans la façon dont les pères en déclin sont fréquemment envisagés dans la démarche prétendument scientifique de Freud. Le besoin de manifester des fantasmes de « plus » émerge là où les figures d'identification n'étaient désirables que lorsqu'elles étaient, comme le dit le récit, " plus " qu'elles ne le sont aujourd'hui. Il ne s'agit pas de dire que le père a été le maître et qu'il ne l'est plus, mais que le déclin est la condition de sa maîtrise dans la mesure où le déclin est la condition de son manque et de sa désirabilité au départ. Cette production de plus au milieu d'un passé manquant est ce qui alimente l'excès symbolique. Si le père du " passé " - le père désiré - est le père du déclin, le père du présent est " l'entrepreneur de décisions, dans son rapport au capitaliste, dont les ressources accumulées, le capital de libido, permettront à cette décision de passer à l'acte " (Lacan, 2007, p. 98). En désirant, il personnifie l'hypothèse selon laquelle le système, la logique et la poursuite de la maîtrise peuvent le satisfaire, illustrant ainsi ce que signifie être un sujet capitaliste. Par conséquent, si le père est castrateur, c'est parce qu'il est également castré.

Le cadre historique occidental du déclin du père est évident lorsque Lacan met en garde contre son universalisation. Dans le même séminaire, il s'en prend à l'establishment psychanalytique de son époque pour avoir exporté le complexe d'Œdipe. Il évoque les analysants togolais qu'il a suivis pour observer comment, assimilés à l'ordre symbolique, ils parlaient peu de leur culture : "Je n'ai pu trouver dans leur analyse aucune trace de leurs coutumes et croyances tribales, qu'ils n'avaient pas oubliées, qu'ils connaissaient, mais du point de vue de l'ethnographie. Il faut dire que tout a été fait pour les en séparer, compte tenu de ce qu'ils étaient, ces petits médecins courageux qui essayaient de s'insérer dans la hiérarchie médicale de la métropole " (Lacan, 2007, p. 91). La mesure dans laquelle Lacan pourrait effectivement distinguer entre ce qui est et ce qui n'est pas de leurs coutumes est bien sûr quelque chose à débattre. Mais il est clair que " le père " que Lacan avait à l'esprit n'est pas un père universel. En effet, il était clair que le "père" tel qu'il l'entendait était un produit qui s'exportait. En référence à ses analysants togolais, Lacan a remarqué que " leur inconscient fonctionnait selon les bonnes vieilles règles de l'Œdipe " qui leur a été " vendu avec les lois de la colonisation, face au capitalisme appelé impérialisme " (Lacan, 2007, p. 92). L'idée que le père puisse se manifester à travers n'importe quoi ne s'applique que là où l'ordre symbolique s'effondre, là où n'importe quel objet peut servir de canal d'identification. Cependant, cette brève mais riche et parlante remarque sur les analysants togolais, en particulier leur désir d'appartenir aux cultures de la métropole, montre que le père tel que le suppose la psychanalyse n'arrive pas tout seul. Il se forme à partir d'une circonstance symbolique que Lacan a clairement placée en Occident. Par conséquent, la présomption selon laquelle le père est une abstraction quelconque doit être reconsidérée.

L'aspect occidental-colonial du père, pour prendre un autre exemple, est encore souligné dans le Séminaire XXIII, où Lacan discute du sinthome de James Joyce. Le sinthome est souvent décrit comme un discours sans lien social pour souligner comment la singularité de Joyce est maintenue dans un rapport au langage qui refuse continuellement d’être mis en équivalence dans un Autre. On remarque moins la centralité d'une relation tout aussi unique au père, où l'implication coloniale de la fonction paternelle est évidente. La singularité de Joyce est symptomatique du fait que son père, John Joyce, n'a pas pu répondre aux aspirations bourgeoises. Plus concrètement, John ne pouvait pas être le transmetteur de valeurs pour façonner James dans l'ordre symbolique imposé par les Britanniques. " Non seulement il ne lui [James] a rien appris, mais il a négligé à peu près tout " (Lacan, 2016, p. 72). John ne personnifiait pas l'entrepreneur qui fonde son identité sur la gestion de la famille. C'était un ivrogne débauché qui ne tenait pas compte de ses responsabilités parentales. Ce qui est le plus remarquable dans tout cela, c'est que James s'en moque éperdument. Plutôt que de construire un mythe de l'idéal paternel en aspirant à son retour ou en moralisant sa responsabilité dans l'échec du père, James est au contraire contraint de façonner sa singularité en l'absence d'un Autre.

La famille comprimée et le père divisé

           Lacan pouvait facilement prendre pour acquis la qualité occidentale du père, puisqu'il en avait déjà fourni les bases historiques au début de sa carrière dans Les complexes familiaux dans la formation de l'individu (1938). Dans ce bref texte, présenté comme une entrée encyclopédique, Lacan critique l'approche sociologique française de la famille, notamment parce que son biologisme ou ses tendances philosophiques ne sont pas en mesure de rendre compte de la façon dont la famille perdure dans le temps jusqu'à devenir un problème de souffrance psychique.  La psychanalyse, affirme Lacan, offre un regard plus fécond sur la famille parce que le père psychanalytique est fondamentalement un complexe d'identification. La famille ne doit pas être comprise en termes de problèmes d'"instincts" hérités, mais de la manière dont le sujet souffre d'une relation au père qu'il ne peut accepter. Le père est ainsi compris avant tout comme "imago", la condition énigmatique de la représentation des objets dans un champ de relations donné, dans lequel la "famille" est cruciale. Il s'agit donc de savoir comment le père - et la famille qu'il gouverne - acquiert ce statut d'imago d'une souffrance qui n'est pas simplement individuelle, mais qui a une signification sociale, politique et historique. En effet, Lacan est clair sur le fait que le père qu'il a à l'esprit est "intégré" dans "un immense patrimoine culturel comprenant des idéaux normaux, des statuts juridiques et une inspiration créatrice" (Lacan, 2002, p. 50).  Pour cela, Lacan attire notre attention sur le père dans la famille conjugale de la modernité industrialisée. Il semble que Lacan décrive ce que nous appellerions généralement la " famille nucléaire ". Il s'agit de la famille qui est séparée des unités de parenté plus larges pour être considérée comme une entité distincte et autonome. C'est le modèle de la famille qui se reproduit continuellement et dont la progéniture part ensuite former une unité distincte. Bien qu'il y ait des traces évidentes de cette famille présumée dans ce que Lacan décrit, il a à l'esprit quelque chose de plus spécifique. Ce que Lacan appelle "la famille conjugale" est la famille qui émerge de l'union de deux individus, plutôt que de l'union de tribus ou de clans. Alors qu'auparavant les familles se formaient à partir d'obligations communautaires, la famille conjugale parle de l'union d'"individus libres".  Lacan considère la formation de la famille conjugale en termes d'époque, allant jusqu'à la décrire comme une révolution "silencieuse", car elle marque le triomphe du long processus historique des idéaux patriciens, des formes privilégiées de mariage et de "l'exaltation apothéotique que le christianisme a apportée aux exigences de la personne" (Lacan, 2002, p. 52). Cette évolution est allée de pair avec l'essor de la modernité industrialisée : "Cette révolution a eu lieu au quinzième siècle et c'est elle qui, avec la révolution économique, est à l'origine de la société bourgeoise et de la psychologie de l'homme moderne" (Lacan, 2002, p. 52). Lacan est donc clair lorsqu'il dit que la psychanalyse concerne en fin de compte "les relations que la psychologie de l'homme moderne entretient avec la famille conjugale" (Lacan, 2002, p. 52, italiques ajoutées).

Lacan fournit un compte-rendu essentiellement sociologique de la manière dont cela s'est produit. Mais l'accent qu'il met sur la "libération" de l'amour des liens traditionnels qui s'est produite parallèlement au capitalisme industrialisé résonne à bien des égards avec les attentes à l'égard de l'amour telles qu'elles sont largement exprimées dans la culture contemporaine. À cela s'ajoute la présomption contemporaine que l'amour est une affaire fondamentalement privée, une attitude qui s'est imposée avec l'émergence du foyer comme sphère privée à opposer à la sphère publique qu'est le marché. Ce tableau de l'histoire comporte un détail crucial que Lacan n'a pas précisé mais qui mérite d'être mentionné. En effet, la révolution qui a inauguré l'avènement de la famille conjugale signifie également l'avènement d'une société dominée par les hommes. L'idéal de la romance conjugale inclut les lois patriarcales de l'héritage et de la propriété qui proviennent de l'Empire romain. En effet, Lacan se réfère indifféremment à la famille conjugale et à la famille paternaliste. Ce qui intéresse Lacan ici, cependant, ce n'est pas simplement le pouvoir, mais la façon dont il se produit à travers les processus inconscients qui sous-tendent la formation du père en tant que point central d'identification, où l'identité se forme principalement à travers le père. Le père n'est donc pas une figure, ni même un symbole, mais la condition de la représentation de l'identité. L'émergence de l'identification au père comme principal canal de formation de l'identité est donc la clé de l'essor de la famille conjugale en tant que mode d'accouplement par défaut. Si la modernité industrialisée, comme on le croit généralement, génère la société égocentrique dans laquelle nous vivons, la famille conjugale considère que le père est l'idéal égocentrique qui facilite cette société, qui assure le processus d'identification par lequel les égos peuvent être maintenus. Mais raconter cette histoire historiquement, c'est aussi soulever une question tout aussi importante. Si l'émergence de l'ego est liée à la domination du modèle moderne de la famille conjugale, comment les choses se passaient-elles avant ? À cet égard, Lacan est clair : nous ne pouvons pas comprendre le sujet psychanalytique de l'ego moderne sans savoir ce qu'était l'"identification", si l'on peut même l'appeler ainsi, avant.

Pour le démontrer, Lacan juxtapose la famille conjugale aux arrangements familiaux des cultures pré-modernes. Il établit un contraste avec les familles matriarcales documentées par l'anthropologue polonais Bronislav Malinowski, qui a également été informé par la psychanalyse, et ses études anthropologiques dans le nord-ouest de la Mélanésie. L'identification dans les contextes conjugaux et familiaux pré-modernes n'était pas concentrée sur une seule personne. En effet, la formation du sujet était cultivée à travers l'identification à différentes figures de premier plan. Elle était pour ainsi dire plus "diffuse". Lacan cite ici l'observation de Malinowski sur la dynamique d'identification dans la communauté : "L'oncle maternel exerce son parrainage social en tant que gardien des tabous familiaux et initiateur aux rituels tribaux, tandis que le père, libéré de toute fonction répressive, peut exercer un rôle de soutien plus amical en tant que maître de compétences ou tuteur de courage dans les entreprises difficiles (Lacan, 2002, p. 50). Là où le "père" moderne a la responsabilité d'imposer la morale et l'amour, le père pré-moderne que Lacan tire de Malinowski n'a pas ce problème. Ce dernier peut s'adresser à d'autres membres de la famille. En d'autres termes, le père n'est pas identifié comme un sujet divisé parce qu'il peut être le canal de l'amour là où l'oncle maternel fait déjà la loi. La "division" n'est pas un problème parce qu'il n'y avait pas d'"unité" au départ, puisque la famille n'était pas conjugale. Les attentes des sujets en formation n'étaient pas comprimées dans une unité privée ou une personne individuelle, mais étaient réparties entre différentes figures. En effet, l'attente du père comme point focal d'identification est la source de la névrose, alimentant ainsi la dynamique du refoulement et de la sublimation : "c'est parce que l'imago paternelle est investie de la fonction de refoulement qu'elle peut projeter la force originelle du refoulement dans les sublimations mêmes destinées à la surmonter " (Lacan, 2002, p. 50).

La découverte de cette expérience alternative de la psyché, que Lacan décrit dans ce texte comme un " équilibre psychique ", conduit en effet Lacan à la conclusion que le complexe d'Œdipe dont traite la psychanalyse n'est pas universel : " cet équilibre psychique montre de façon convaincante que le complexe d'Œdipe est relatif à une structure sociale " (Lacan, 2002, p. 50). Ainsi, nous verrons que l'émergence de la famille conjugale est à bien des égards la mesure de la différence historique pour Lacan. Dans un autre essai, dix ans plus tard, il décrira l'effacement de la tradition par la modernisation en termes " d'absence croissante de toutes ces saturations de l'idéal du surmoi et du moi qui se réalisent sous toutes sortes de formes organiques dans les sociétés traditionnelles " (Lacan, 2006, p. 99). Ce n'est pas la prise de pouvoir d'une culture sur une autre qui préoccupe Lacan, ni le consumérisme et la simple expansion des marchés. Il s'agit plutôt de la façon dont la famille réduite du capital occidental et sa concentration du pouvoir dans le père l'emportent sur les autres arrangements de parenté. Là où l'identification, et par conséquent le pouvoir, était autrefois plus dispersée, répartie entre différents lieux et instanciations - "des formes qui s'étendent des rituels de l'intimité quotidienne aux festivals périodiques dans lesquels la communauté se manifeste" - le père de l'ordre symbolique occidental, avec la famille conjugale au cœur, se produit (Lacan, 2006, p. 99). Le contraste civilisationnel que Lacan jugeait nécessaire dans sa critique du complexe d'Œdipe sera cependant plus atténué dans ses écrits ultérieurs. Cela pourrait s'expliquer par le fait qu'il a estimé que le travail de fond avait déjà été effectué auparavant. Les plus de soixante ans d'écrits et de séminaires pourraient également indiquer que Lacan s'est simplement désintéressé des fondements sociologiques de ses affirmations, préférant emmener la psychanalyse vers des tangentes philosophiques plus abstraites. Quoi qu'il en soit, à l'heure où la psychanalyse se mondialise et où la question de la décolonialité se fait de plus en plus pressante, nous ferions bien de commencer par nous rappeler que le père a toujours été déjà provincialisé dans la pensée lacanienne, présenté comme un produit de circonstances historiques spécifiques, plutôt que comme un fait donné. Lacan l'a d'ailleurs fait en considérant les différentes formes de la famille à travers le monde pour ouvrir à de plus grandes possibilités critiques.

Références

Badiou, A., & Roudinesco, E. (2014). Jacques Lacan, hier et aujourd'hui : Un dialogue.
           New York : Columbia University Press.

Hook, D. (2017). Six moments chez Lacan : Communication et identification en
           psychologie et la psychanalyse.
New York : Routledge.

Lacan, J. (2001). Écrits : A Selection. Londres : Routledge.

Lacan, J. (2002). Les complexes familiaux dans la formation de l'individu.

Lacan, J. (2006). "L'agressivité dans la psychanalyse". In B. Fink (Ed.), Ecrits : La première
           édition complète en anglais
(pp. 82-101). Londres : W.W. Norton.

Lacan, J. (2007). Livre XVII : L'envers de la psychanalyse : Le séminaire
           de Jacques Lacan.
Londres : W.W. Norton.

Lacan, J. (2016). Livre XXIII : Le sinthome, Le séminaire de Jacques Lacan. Cambridge,
           ROYAUME-UNI : Polity Press.

Vanheule, S. (2011). Le sujet de la psychose. Londres : Palgrave McMillan.

Žižek, S. (1995). "Woman is One of the Names-of-the-Father, or How Not to Misread Lacan's Formulas of Sexuation" (La femme est un des noms du père, ou comment ne pas mal lire les formules de sexualité de Lacan) dans Lacanian Ink. 10.

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